On en parle dans la presse : La Libre Belgique • Zig Zag, du 23 au 29 septembre.
"Anciennement les peintures aborigènes étaient réalisées dans le sable, et parfois sur des écorces d'arbres ou sur des rochers. Ces interventions étaient avant; tout éphémères et leur sens secret. Au.début des années 70, les images abstraites de ces "rêves" vont être réalisées sur des supports traditionnels, et de la: sorte devenir pérennes. Ces peintures vont aussi quitter le territoire d'origine et faire désormais partie du marché de l'art qui s'en est rapidement emparé.1 Fort heureusement, tout en évoluant, ces peintures qui sont l'objet d'expositions muséales dans le monde ont conservé leur spécificité. Cette pratique nouvelle a changé la vie des Aborigène et leur a permis de récupérer une partie de leurs terres.
Une exposition des œuvres des artistes contemporains les plus renommés du centre d'art de Papunya et de quelques autres se tient à la galerie Aboriginal Signature à Bruxelles. Dans ce cadre, le musicien virtuose multi-instrumentaliste Stephen Kent (photo) donnera un concert de didgeridoo. Une occasion. de voir et entendre une part de la culture des Aborigènes. (C.L) "
L'exposition sur Papunya : Big Bang d'un mouvement d'art contemporain se tient à la galerie Aboriginal Signature jusqu'au 7 novembre.
Le concert le 24 septembre dernier avec le virtuose Stephen Kent reste mémorable avec tous ces passionnés de Didgeridoo. 2h de performance en résonance avec les toiles Aborigènes de Papunya et les mélopées des peuples Pitjara et Pintupi.
Le mot de Stephen dans le livre d'or souligne à lui seul l'intensité de ce moment exceptionnel. Merci Stephen !
"For me, to perform the Didjeridu in this extraordinarily charged environment among the spirits of the people who carry this beautiful tradition of the living DREAMTIME was a moment out of time - an Essential Breath".